Il interdit également de bombarder des villes non stratégiques[30]. Charles-Louis d'Autriche-Teschen, archiduc d'Autriche et duc de Teschen (en allemand : Erzherzog Karl von Österreich, Herzog von Teschen, connu aussi sous le nom de Karl von Österreich-Teschen), né le 5 septembre 1771 à Florence et mort le 30 avril 1847 à Vienne, est un militaire autrichien, fils de l' empereur du Saint-Empire Léopold II et de son épouse Marie-Louise de Bourbon, infante d'Espagne. Charles III de Habsbourg, en allemand Karl von Habsburg (né le 1er octobre 1685 à Vienne - mort le 20 octobre 1740 dans la même ville), est empereur du Saint-Empire romain germanique sous le nom de Charles VI et roi de Hongrie sous le nom de Charles III (1711-1740). CHARLES FRANÇOIS JOSEPH DE HABSBOURG-LORRAINE (Karl Franz Josef von Habsburg-Lothringen) (Persenbeug, 17 août 1887 - Madère, 1er avril 1922) a été, sous le nom de Charles Ier, le dernier… Ainsi, le 27 septembre, après avoir dévoilé son souhait de transformer son empire en une fédération, Charles tente de mettre en œuvre ses réformes, mais se heurte à l'opposition hongroise, menée par Tisza, soutenu par Wekerle, président du Conseil du royaume de Budapest[60]. A cette date, c'est donc le frère de l'empereur François-Joseph, Charles-Louis, qui est héritier. L'état-major allemand met en place un plan d'invasion de l'Autriche et d'internement de son souverain. À sa naissance, il est cinquième dans l'ordre de succession. Ribot ne croit cependant pas à la sincérité des propositions de l'empereur et pense que des engagements qui ne prennent que la forme d'apostilles manuscrites ne peuvent être pris au sérieux. Charles d'Autriche (1545-1568) Sommaire. - … Elle ne le fête pas le 1er avril, « jour de son entrée au Ciel », mais le 21 octobre, jour de son mariage. Préface. Au fil de l'année 1917, Charles, souhaitant sauver son empire[32], tente de prendre ses distances à l'égard de l'Empire allemand, non seulement en menant des négociations de paix informelles avec les Alliés, mais aussi en mettant en place une politique autonome dans le conflit, s'opposant notamment à un certain nombre de mesures décidées par son allié. Durant le Premier conflit mondial, Charles participe au financement du Vatican et au soutien de la politique pontificale vue comme favorable aux puissances centrales : ainsi, sous couvert du denier de Saint-Pierre, il fait parvenir à l'État pontifical la somme de 500 000 francs à la fin du mois de juin 1918[92]. Dans le domaine politique, cette défaite plonge la Cisleithanie dans une crise politique dont elle ne sort plus, le parlement exigeant des explications à propos de l'échec de l'offensive, tandis que le gouvernement de Budapest doit affronter une opposition parlementaire sans cesse renforcée[53]. Le couple a eu cinq enfants. C'est avec le soutien du pape Benoît XV qu'il tente par deux fois de reprendre le pouvoir en Hongrie en 1921. Le 13 novembre, alors qu'il souhaitait conserver la couronne de Hongrie, il renonce à « toute participation aux affaires de l'État »[78]. Prière pour la paix des peuples par l’intercession du Bienheureux Charles d’Autriche, pour sa canonisation et les pétitions personelles.. Grâce à une généreuse décision de son père, Charles est adopté et élevé à Vienne et à Bruxelles par sa tante Marie-Christine d'Autriche et son mari Albert de Saxe-Teschen, tous deux sans enfant [note 1] et gouverneurs des Pays-Bas. Charles d'Autriche (Don Carlos), né à Valladolid le 8 juillet 1545 et décédé à Madrid le 24 juillet 1568, fut prince des Asturies, fils de Philippe II et de sa cousine paternelle et maternelle Marie-Manuelle de Portugal. La dernière modification de cette page a été faite le 4 mai 2020 à 22:50. Une fois ses troupes dispersées, Charles est fait prisonnier par le gouvernement royal hongrois, ce qui met un terme à cette seconde tentative[87]. Il devient selon la tradition familiale officier dans l'armée austro-hongroise. Il fut le dernier monarque de ces États. Lâché par le commandement militaire et les autorités civiles durant les premiers jours de novembre, Charles signe sa renonciation au trône (plus précisément "sa renonciation à participer au gouvernement autrichien") dans une déclaration rédigée où il reconnaît au peuple autrichien le droit à disposer de lui-même au sein d'un État autrichien libre[75]. Ferdinand was born on June 14 1529, in Linz, Autriche. Il devient brutalement l'héritier du trône le 28 juin 1914 après l'assassinat de son oncle l'archiduc François-Ferdinand à Sarajevo. Sur la base de la note rédigée par les princes Sixte et Xavier de Bourbon-Parme, l'empereur Charles fait une proposition, par une, Une volonté de réforme de la double monarchie, l'empereur va tout faire pour épargner des vies et quelques-uns de ses officiers exposent leur désaccord avec cette politique. 15 janvier 1556 – 24 juillet 1568(12 ans, 6 mois et 9 jours). Pour les articles homonymes, voir Charles d'Autriche. Il est enterré dans l'église Nossa Senhora do Monte sur les hauteurs de Funchal. Bernard Michel, Nicole Pietri, Marie-Pierre Ray, Hans Karl Zessner-Spitzenberg, The Emperor Charles I of Austria, a great Christian monarch, K. Rasinger, 1963. À la fin du mois de décembre 1917, une réforme du droit de suffrage est proposée, faisant passer le corps électoral à 3,8 millions de votants, soit plus du doublement du nombre d'électeurs, mais qui renforce également la prépondérance germano-hongroise ; elle est cependant repoussée par les proches de Tisza, qui contrôlent la majorité des sièges de la Chambre des représentants de Budapest[19]. L'archiduc — que ses camarades de classe surnomment affectueusement l' "archi-Charles" — reçoit une éducation soignée, maîtrisant plusieurs langues, notamment l'allemand, le français, le tchèque et le hongrois, puis, à partir de 1900, il reçoit une solide formation juridique et économique. Les reliques de première classe doivent être demandées par un prêtre/évêque qui atteste officiellement que l’on souhaite établir un sanctuaire permanent dans une église/chapelle. Cadet de la Maison impériale, il est destiné à devenir officier. Lors de cette rencontre, initialement souhaitée par le souverain Habsbourg pour clarifier le détail du partage politique et économique de la Roumanie[46], celui-ci, désavoué par les archiducs autrichiens, menacé d'être déposé, doit accepter non seulement une alliance militaire, offensive et défensive, avec le Reich[45], mais aussi, dans le cadre d'un « Zollverein austro-allemand »[47], la mise en place progressive d'une union douanière germano-austro-hongroise[48], malgré les réserves de l'empereur-roi et de ses conseillers[49]. Charles, Zita et leur fils Otto d'Autriche et l'empereur Charles et l'Impératrice Zita sur leurs lits de mort à Madère (pour Charles) le 1er avril 1922. L'exil de la famille impériale commence tandis que les États successeurs de la double monarchie confisquent les biens de la famille impériale. Dans le même temps, il tente de négocier les conditions de la pérennité de son empire avec les représentants des différents peuples qui le constituent, contre l'avis des représentants allemands et hongrois, notamment Burián et Wekerle[58], qui obtiennent que les peuples du royaume de Hongrie soient exclus de la proclamation d'autonomie signée par l'empereur-roi du 16 octobre[59]. Charles-Ferdinand de Habsbourg-Lorraine, de la branche des ducs de Teschen, est né à Vienne le 29 juillet 1818 et décédé le 20 novembre 1874 à Židlochovice.C'est un membre de la Maison de Habsbourg-Lorraine et un militaire austro-hongrois, qui participe notamment à la répression du soulèvement tchèque de 1848.. Famille. François-Charles d'Autriche de Habsbourg-Lorraine 1802-1878 Marié le 4 novembre 1824 (jeudi), Vienne, Vienne, Autriche, avecSophie de Bavière Wittelsbach 1805-1872 Grands parents paternels, oncles et tantes. Son acte de "renonciation" (le terme "abdication" n'ayant jamais été formulé) est signé dans le salon chinois bleu du château de Schönbrunn, à midi le 11 novembre 1918[76], le même jour que l'armistice et la fin de la Première Guerre mondiale[77]. Philippine was born in 1527, in Augsbourg, Bavière, Allemagne. Il quitte ainsi l'Autriche en train avec sa famille le 23 mars 1919 sous la protection d'officiers britanniques[82]. Dès le mois d'avril 1917, date de la remise par Charles du mémorandum de Czernin à Guillaume II, l'empereur-roi, chef d'État d'un empire épuisé en cours de vassalisation, démontre son incapacité à peser sur son allié allemand[44]. Informé de la défaite allemande du mois de juillet 1918, alors que l'armée commune vient d'essuyer un grave échec en Italie[54], il tente de s'opposer à la défaite par des réformes de la monarchie, mais il est rapidement débordé par les Alliés, qui reconnaissent le comité tchécoslovaque[55]. Soutenu par le pape Benoît XV[85], l'ex-empereur et roi tente à deux reprises de remonter sur le trône de Hongrie. De plus, Charles, héritant du personnel politique du règne précédent, opère des modifications profondes parmi les responsables chargés de la gestion de la double monarchie. De même, les autres souverains allemands abdiquent et s'enfuient. Le 24 janvier 1917, les deux princes sont à Paris où ils ne rencontrent que Jules Cambon, secrétaire général du ministère des Affaires étrangères. De même, la paix avec la Roumanie est négociée dans un premier temps à la suite d'une initiative de Charles, qui met le pays sous tutelle économique austro-allemande, mais laisse au royaume des capacités militaires importantes[38], et surtout aboutit à placer la Roumanie sous contrôle économique allemand, en dépit de la demande expresse de Charles de réduire l'occupation du pays à une durée minimale[39] comme de permettre aux Roumains de conserver pour le royaume de Bucarest une certaine indépendance économique[40]. Fils aîné de l'archiduc Otto de Habsbourg-Lorraine et de Marie-Josèphe de Saxe, héritier du trône depuis le 28 juin 1914, il a succédé à l'âge de 29 ans à son grand-oncle l'empereur François-Joseph Ier, qui avait régné 68 ans. La dernière modification de cette page a été faite le 19 janvier 2021 à 15:48. Il nait dans une Autriche humiliée par la France révolutionnaire puis impériale. Il multiplie ainsi les déplacements, se plaçant ainsi dans la continuité de son action comme prince héritier : il effectue ainsi, durant ses 24 mois de règne, 82 voyages, parcourant 80 000 km, à l'intérieur de la double monarchie et sur le front, auxquels s'ajoutent les déplacements à l'étranger, dans l'Empire allemand ou chez les alliés de ce dernier[12] ; sillonnant inlassablement son empire, l'empereur-roi transforme son train, continuellement prêt à partir, en un centre de pouvoir itinérant, accordant des audiences dans sa voiture-salon, multipliant les réunions de travail avec ses conseillers[14]. Durant cette période, il est affecté à l'AOK, état-major général austro-hongrois, avec le grade de colonel, afin de parfaire sa formation. Bienheureux Charles d'Autriche. Cette situation place les militaires austro-hongrois dans une situation intenable à laquelle l'empereur tente de remédier par une négociation de plus en plus difficile avec un partenaire allemand toujours plus exigeant, portant sur des compensations de plus en plus illusoires (comme l’élection d'un Habsbourg-Lorraine sur le trône d'un royaume de Pologne totalement inféodé au Reich[42]) mais oblige le Reich à ménager son allié qui, à partir de 1917, ne songe qu'à sortir du conflit au début de l'automne de la même année[43]. Charles François Joseph de Habsbourg-Lorraine (en allemand Karl Franz Josef von Habsburg-Lothringen), né à Persenbeug le 17 août 1887 et mort à Funchal (Madère) le 1er avril 1922, a été, du 22 novembre 1916 au 12 novembre 1918, empereur d'Autriche sous le nom de Charles Ier, roi de Hongrie sous le nom de Charles IV (IV. Cependant, il se montre incapable de soutenir les promoteurs de la politique qu'il souhaite voir menée dans la double monarchie, dans le conflit ou dans la recherche d'une solution pacifique[11]. Le 21 octobre 1911, l'archiduc épouse la princesse Zita de Bourbon-Parme (1892 – 1989) dix-septième enfant de Robert Ier, dernier duc règnant de Parme. Il n'a jamais été couronné empereur d'Autriche, ni roi de Bohême. Petit-fils de l'empereur François Ier d'Autriche, il est le troisième fils de l'archiduc François-Charles et de Sophie de Bavière, et le frère cadet de l'empereur. Dans le même temps, il tente d'associer les conseils nationaux à la négociation de l'armistice de Villa Giusti, mais le conseil national allemand rappelle au monarque les conditions dans lesquelles la double monarchie est entrée dans le conflit, sans consultation des chambres, ni en Autriche, ni en Hongrie, signifiant ainsi son refus d'être associé à la négociation[73]. Déçu, Charles doit retourner en Suisse le 5 avril 1921, mais n'entend pas pour autant renoncer[87]. Plus tard, en 1565, on lui fait espérer la main de l'archiduchesse Anne, sa cousine et fille de l'empereur Maximilien II du Saint-Empire ; mais son père s'oppose encore à cette union et épouse sa propre nièce, en 1570. Le 3 avril 1919, les députés autrichiens votent la loi de Habsbourg, qui exile et bannit définitivement les membres de la maison de Habsbourg-Lorraine et confisque leurs biens[84]. Charles IX, né le 27 juin 1550 au château royal de Saint-Germain-en-Laye et mort le 30 mai 1574 au château de Vincennes, est roi de France de 1560 à 1574.. Il est le quatrième roi de la famille des Valois-Angoulême.Fils d' Henri II et de Catherine de Médicis, il succède à son frère François II à l'âge de 10 ans et meurt sans enfant mâle légitime à près de 24 ans. Neuvaine pour demander l’intercession et la canonisation du Bienheureux Charles, Empereur d’Autriche. Rapidement, il se heurte à Franz Conrad von Hötzendorf, chef d'état-major général, qui se méfie de ses possibles ingérences dans le domaine militaire, et dont il n'approuve pas la politique, visant à mettre l'administration civile sous la tutelle des militaires[3]. Avant de s'engager plus avant, il tente de fléchir son allié allemand, en lui faisant parvenir un mémorandum sur l'état réel de la double monarchie par l'envoi de missives pressantes à Guillaume II[28]. Son fils, l’archiduc héritier Rodolphe décède en 1889 dans la tragédie de Mayerling sans descendance mâle avec son épouse, la princesse Stéphanie de Belgique. Ainsi, il se désintéresse rapidement, dans un premier temps, à la dévolution de la Pologne à la double monarchie ou à la recréation d'un royaume de Pologne au profit d'un prince de la maison de Habsbourg-Lorraine. Les négociations, commencées sous les auspices d'Aristide Briand, se poursuivent avec Alexandre Ribot, nouveau président du Conseil, à la suite du renversement du cabinet Briand. Il cherche également à se rapprocher du club yougoslave, regroupant les parlementaires autrichiens issus des populations serbes, croates et slovènes de Cisleithanie, afin de disposer d'une majorité à Vienne pour faire adopter les mesures qu'ils souhaite promouvoir, en échange d'une profonde réforme de la monarchie danubienne[20]. Charles Ier a été béatifié à Rome le 3 octobre 2004 par le pape Jean-Paul II, tant pour ses tentatives de paix en 1917 que pour son soutien apporté à la médiation du pape Benoît XV. L'empereur commet, avec la publication de ce texte, une erreur, puisque cette publication accélère le processus de dissolution de la monarchie danubienne, par les équivoques qu'elle contient : Charles souhaite réformer la monarchie une fois la paix revenue, les représentants des nationalités multiplient les actes préludant à l'éclatement de la double monarchie face auxquels l'empereur-roi est totalement désarmé[63]. Il bénéficie de l'affection sincère du vieil empereur François-Joseph, accablé par les deuils. Dès la déclaration de guerre, il affirme son souhait de ne pas faire dépendre la double monarchie de la seule alliance avec l'Empire allemand, conscient que celui-ci pourrait faire de la double monarchie une « grande Bavière »[N 2],[33]. Ainsi informé, Miklós Horthy refuse de remettre à Charles la couronne de Hongrie, en lui expliquant que son retour, sur quelque trône que ce soit, ne serait jamais accepté par les Alliés et par la Petite Entente, qui étaient déjà intervenus en 1919 pour écraser la république bolchevique hongroise, et qui menaçaient d'en faire de même contre un roi de la dynastie déchue. Ainsi l'une de ses premières mesures doit aboutir à l'élargissement du droit de suffrage en Hongrie, s'opposant ainsi frontalement au président du conseil du royaume de Hongrie, István Tisza, dont il obtient la démission le 23 mai 1917, au terme d'une intense lutte politique[17], mais qui mène dans les mois qui suivent une lutte sourde contre la politique menée par les présidents du conseil qui se succèdent en Hongrie[18], puisque, homme d'État énergique, il contrôle le principal parti politique représenté au parlement de Budapest, le Parti du Travail[17]. Afin de donner, comme en Autriche, un caractère définitif à l'exclusion des Habsbourg-Lorraine du trône de Hongrie, le parlement de Budapest adopte, sous la pression des commissaires Alliés, une loi rétablissant le caractère électif de la monarchie en Hongrie mais excluant les Habsbourg-Lorraine de tout droit sur la couronne hongroise[87]. 78 likes. 1 Biographie. Dès son avènement le 1er décembre 1916, le jeune empereur reçoit la visite du président du conseil hongrois, István Tisza, qui se montre partisan d'un couronnement rapide du nouveau roi en Hongrie, celui-ci devant prêter serment à la constitution de 1867, liant ainsi la politique future de Charles, partisan d'une réorganisation de la monarchie, aux intérêts du royaume de Hongrie[8]. François Charles Joseph, archiduc d'Autriche (Vienne, 7 décembre 1802 – Vienne, 8 mars 1878) était le fils de l'empereur François Ier d'Autriche et de Marie-Thérèse de Bourbon, fille de Ferdinand Ier des Deux-Siciles. Affaibli par le climat océanique venteux de l'île, il contracte une bronchite aiguë le 9 mars suivant et, veillé par l'ex-impératrice Zita enceinte de son huitième enfant, meurt à l'âge de 34 ans et 7 mois le 1er avril 1922 d'une pneumonie[89], dans une relative pauvreté par rapport à son train de vie antérieur[90]. Son principal objectif est de trouver les voies de la paix avec les Alliés, notamment la France et la Russie[27]. Dès son installation sur le trône, l'empereur-roi assume le commandement de l'armée austro-hongroise, transférant son quartier général à Baden, et limogeant à cette occasion son chef d'état-major, Franz Conrad von Hötzendorf, le 2 mars 1917[24]. Charles d'Autriche (Don Carlos), né à Valladolid le 8 juillet 1545 et décédé à Madrid le 24 juillet 1568, fut prince des Asturies, fils de Philippe II et de sa cousine paternelle et maternelle Marie-Manuelle de Portugal. L'Église catholique l'a déclaré bienheureux en 2004. Il se contente de signer un retrait momentané des affaires publiques le 12 novembre 1918. Petit-neveu de l'empereur François-Joseph, il est à sa naissance cinquième dans l'ordre de succession au trône et a donc peu de chances de ceindre un jour la couronne. Charles a seulement quatre arrière-grands-parents[1] et ses parents ont le même coefficient de consanguinité (1 / 8) que s'ils étaient demi-frères. Le couronnement comme roi de Hongrie a lieu à Budapest dès le 30 décembre 1916. Pour mener à bien son programme, il s'entoure de personnalités proches de son oncle, François-Ferdinand, partisans d'une réforme de la monarchie avec la création d'un pôle slave au sein de la monarchie danubienne[10]. En 1900, le mariage morganatique de son oncle, l'archiduc héritier François-Ferdinand (dont les enfants sont de fait non dynastes), puis la mort prématurée de son père l'archiduc Otto en 1906 font de lui, à l'âge de 19 ans, le second dans la ligne de succession de la double monarchie, après son oncle François-Ferdinand[1]. Il est l'héritier présomptif du trône d'Autriche-Hongrie après le décès de … Ce mariage n'est cependant pas un mariage arrangé, tout en répondant aux exigences matrimoniales de la famille impériale, ce qui lui assure la bienveillance de l'empereur-roi[N 1],[3]. Au cours des négociations lancées à la suite de la Révolution d'Octobre, avec la Russie, l'Ukraine et la Roumanie, les diplomates envoyés par l'empereur Charles tentent d'appliquer les consignes de ce dernier, parfois contre les intérêts allemands. Il veille avec une tendresse d'aîné sur son frère Maximilien, de huit ans son cadet. Un collège indépendant pour offrir à votre enfant un enseignement de qualité ! Face à la dissolution de son empire, Charles ne peut que constater la nullité de son autorité dans les premiers jours de novembre 1918. L'empereur fait également tout son possible pour éviter les opérations coûteuses en vies humaines et non nécessaires, « si l'Allemagne refusait d'entrer dans la voie de la raison, il se verrait contraint d'abandonner son alliance pour faire une paix séparée avec l', « toute participation aux affaires de l'État », cette bienveillance se manifeste par la présence du monarque à la cérémonie, ce dont il s'était abstenu pour le mariage de son héritier, The sleepwalkers : how Europe went to war in 1914, Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Alexandre Salvator de Habsbourg-Toscane**, Constantin Salvator de Habsbourg-Toscane**, Charles de Habsbourg-Lorraine (homonymie), secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, partage politique et économique de la Roumanie, dernière rencontre entre les principaux dirigeants allemands et austro-hongrois, dernière offensive de la double monarchie face à l'Italie, Marie-Thérèse de Habsbourg-Lorraine-Teschen, Tentatives de paix pendant la Première Guerre mondiale, Conférences de Spa (Première Guerre mondiale), Autriche-Hongrie dans la Première Guerre mondiale, François Charles Salvator de Habsbourg-Toscane, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Charles_Ier_(empereur_d%27Autriche)&oldid=178980111, Militaire austro-hongrois de la Première Guerre mondiale, Grand maître de l'ordre de la Toison d'or, Grand-croix de l'ordre militaire de Marie-Thérèse, Grand-croix de l'ordre militaire de Maximilien-Joseph de Bavière, Grand-croix de l'ordre militaire de Saint-Henri, Chevalier de l'ordre autrichien de la Toison d'or (XXe siècle), Personnalité inhumée dans la chapelle de Lorette du monastère de Muri, Prétendant aux trônes d’Autriche et de Hongrie, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Article contenant un appel à traduction en hongrois, Article contenant un appel à traduction en allemand, Article contenant un appel à traduction en anglais, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, Portail:Première Guerre mondiale/Articles liés, Portail:Biographie/Articles liés/Militaire, Portail:Biographie/Articles liés/Politique, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, il s'appliquera à faire admettre par son allié, l', il s'appliquera auprès de son allié, l'Empire allemand, à ce que la, la monarchie austro-hongroise doit être maintenue dans le respect du. Cette déclaration met l'empereur Charles dans une position intenable face à son allié allemand qui l'accuse de trahison, alors que Charles avait pris la précaution d'informer l'empereur Guillaume II qu'il avait engagé des pourparlers de paix, sans toutefois en révéler le contenu exact. La comtesse Olympia von Arco-Zinneberg, épouse depuis 2019 du prince Jean-Christophe Napoléon, est la nièce de l'archiduc Lorenz. Charles procède à une réforme de la justice militaire, sans avoir consulté ses généraux et contre l'avis des responsables militaires allemands[26]. Carlos est né à Valladolid et sa mère est morte quatre jours après sa naissance. L'archiduc Charles-Christian, fils cadet de l'archiduc Charles-Louis, a épousé en 1982 la princesse Marie-Astrid de Luxembourg (fille du couple grand-ducal). Se targuant de l'appui de la France, Charles IV tente de duper le régent, qui se rapproche alors des commissaires Alliés en Hongrie pour connaître leur position. CHARLES D'AUTRICHE (1887-1922) P hoto . Léopold II de Habsbourg-Lorraine, empereur germanique 1747-1792 (1765) Il s'installe avec sa famille et quelques familiers en premier lieu au château de Wartegg, au bord du lac de Constance, puis le 20 mai suivant, à la villa de Prangins, au bord du lac Léman[83]. Charles Ier d’Autriche, IV de Hongrie et III de Bohème (Karl François Joseph Louis George Otto Hubert Maria), (Persenbeug, 17 août 1887 – Funchal, Madère, 1 avril 1922) fut le dernier empereur d’Autriche, le dernier roi apostolique de Hongrie et le dernier roi de Bohême. Durant la guerre, l'empereur va tout faire pour épargner des vies et quelques-uns de ses officiers exposent leur désaccord avec cette politique. Il entretient de bonnes relations tant avec son grand-oncle (l'empereur-roi) qu'avec son oncle (l'archiduc héritier), entre lesquels les relations sont souvent tendues. Monsieur Jean Sévillia - écrivain et historien français nous parle de "Charles et Zita d'Autriche, un exemple chrétien pour notre temps" Charles ne vivra que quelques mois d'hiver à Madère. Il entre en fonctions le 31 juillet 1916 à la tête d'un groupe d'armées comprenant les 12e et 7e armées austro-hongroises à l'aile sud du front, près de la frontière de la Roumanie encore neutre, mais la direction effective est assurée par son chef d'état-major allemand, le général Hans von Seeckt[5]. Les voisins tchécoslovaque, yougoslave et roumain sont du même avis : dès 1920, le gouvernement tchécoslovaque, par la voix d'Edvard Beneš, avait déjà fait savoir qu'il considérerait toute tentative de restauration monarchique en Autriche ou en Hongrie, comme une menace pour son pays[85]. Son grand-oncle François-Joseph de Habsbourg-Lorraine était l’empereur d’Autriche, roi de Hongrie et de Bohême. CITE DU VATICAN, Dimanche 3 octobre 2004 (ZENIT.org) – Charles d’Autriche, a été un "ami de la paix", et offre un modèle pour les responsables politiques européens, affirmait Jean-Paul II, lors de la messe de béatification, ce matin, place Saint-Pierre. Charles II François (en allemand : Karl II. Fils de l'archiduc François-Charles et de Sophie de Bavière, il est le frère des empereurs François-Joseph Ier d'Autriche et Maximilien Ier du Mexique. Ascendance de Charles d'Autriche sur 5 générations, Alexandre Salvator de Habsbourg-Toscane**, Constantin Salvator de Habsbourg-Toscane**, François Charles Salvator de Habsbourg-Toscane, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Charles_d%27Autriche_(1545-1568)&oldid=170447216, Chevalier de l'ordre de la Toison d'or (XVIe siècle), Article contenant un appel à traduction en anglais, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Article contenant un appel à traduction en hongrois, Article contenant un appel à traduction en allemand, Portail:Biographie/Articles liés/Politique, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Par la suite, la succession passe aux descendants du f… Son fils aîné, l'archiduc Otto, âgé de dix ans, devient alors le chef officiel de la maison de Habsbourg-Lorraine pour les quatre-vingts années à venir. La résistance du gouvernement hongrois, présidé par le comte István Tisza, à toute modification constitutionnelle du compromis imposée par la fédéralisation ne permet pas de réaliser ce programme en temps utile. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. À partir du mois d’août 1918, Charles Ier tente de sortir du conflit, alors que la double monarchie s'enfonce dans l'anarchie[56] : le 15 août, l'empereur-roi fait connaître aux Allemands sa volonté de sortir du conflit le plus rapidement possible[57], puis le 6 septembre, il avertit Guillaume II de son souhait de demander un armistice[51]. Dans un second temps, il modifie son point de vue, mais ce changement ne suscite aucune réaction du Reich, ayant alors, au printemps 1918, écarté cette option[34]. Le 17 octobre, cependant, tentant de se concilier les États-Unis[61], il publie un manifeste transformant l'empire d'Autriche en une fédération, alors que les dernières propositions de paix de l'empereur-roi sont définitivement écartées le 4 octobre[62]. Toute l'actualité du championnat du monde de Formule 1 en vidéo L'Empereur François Joseph I était son grand-oncle. Dès janvier 1917, conscient des implications du déclenchement de la guerre sous-marine à outrance, il s'oppose, contre l'avis de ses conseillers militaires, mais avec le soutien de son ministre des Affaires étrangères, Ottokar Czernin[35], au déclenchement de la guerre sous-marine, décidée sans l'Autriche-Hongrie, à Berlin[36].
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