Or, une telle distinction n’a de sens que si l’on affirme que le discours n’adhère pas immédiatement à l’être car la seule « adhérence » possible concerne le jugement. En outre, elle repose sur une prémisse qui, sans être nécessairement vraie, doit être soumise à l’approbation de l’interlocuteur, sans quoi l’entretien avec l’interlocuteur/contradicteur ne pourrait avoir lieu. Leurs conceptions et leurs pratiques du logos lui reconnaissent la puissance inégalée de tout faire paraître à la fois comme même et autre. Cela ne La blancheur, la taille, la similitude, ne sont pas des « choses » ». Ce n'est pas une distinction de petite importance qu'ils La puissance, parce qu’elle est de la Même si cet interlocuteur ne manifeste pas l’intention de chercher et de dire la vérité comme telle, il ne peut se dérober dès lors qu’il accepte la condition même de tout discours : non pas former des propositions susceptibles d’être vraies ou fausses, mais énoncer un son vocal doué de signification. seulement dire quelque chose d'intelligible; et, s'il est hors d'état de rien dire, il serait assez plaisant de chercher à parler raison avec quelqu'un qui ne donne aucune raison sur le sujet De plus, le contradicteur qui ferait fond sur l’impossibilité de démontrer le principe est contraint d’admettre que l’on peut atteindre une vérité autrement que par voie démonstrative : « il y a quelque chose de vrai sans démonstration ». LA METAPHYSIQUE D’ARISTOTE ARISTOTE . Aristotle. D’après Werner Jaeger, Aristote aura été le premier à « rompre le lien entre le mot et la chose, entre le logos et l’on, étant ». Le principe pour toutes les argumentations de cette sorte n’est pas de réclamer qu’on dise que quelque chose est ou n’est pas (car on pourrait peut-être concevoir que c’est faire une pétition de principe), mais qu’on signifie au moins quelque chose pour soi-même ou pour un autre. existe – peut se mouvoir et agir selon sa façon d’être, déterminée par sa forme. C’est la raison pour laquelle, dans la pure immanence de la langue, les contraires sont complémentaires. Seule la substance est en elle-même, tandis que les autres types de réalité – qui ont été appelés par la suite Entre l’univocité et l’équivocité il y a une situation intermédiaire qui est précisément l’analogie. Pierre Pellegrin - 1990 - Revue de Métaphysique … C'est que tout phénomène qui se produit tend, et se dirige, vers un principe et vers une fin. La méthode suivie par Aristote frappe par l’économie de moyens déployés au regard des résultats obtenus. Aussi va-t-il revenir sur sa stratégie argumentative afin d’écarter toute accusation de ce genre. Aristote a défini cette science de quatre manières : a) la métaphysique cherche les causes premières et les principes suprêmes de la réalité ; b) la métaphysique étudie l’être en tant qu’être ; c) la métaphysique étudie la substance ; d) la métaphysique s’occupe de Dieu et des substances suprasensibles. La doctrine aristotélicienne des causes est dispersée dans plusieurs traités. et Protagoras, Aristote cherche la vérité la plus sûre, la base ou principe de toute démonstration et par conséquent de toute science. Par exemple, « le nom [la première partie du discours avec le verbe] est un son vocal possédant une signification conventionnelle, sans référence au temps, et dont aucune partie ne présente de signification quand elle est prise séparément » (De l’interprétation, 2,16a). spécialement à tel genre d'êtres, à l'exclusion des autres. qui englobe toute la diversité du réel ; l’être a une signification multiple, car il y a de différentes modalités d’être, dont la fondamentale est celle de la substance : tout ce qui père est la cause de l'enfant ; en un mot, que ce qui agit est la cause de l'acte, et que ce qui change une chose est cause du changement qu'elle subit. Il est facile de voir que, au point de vue de la raison, l'acte est antérieur à la puissance; car l'idée première de puissance s'attache exclusivement à ce qui est en état de passer à l'acte. Trois études sur la tradition des commentaires anciens à la Métaphysique d’Aristote Concetta Luna. Identifier les contraires détraquerait complétement le langage : le discours des contraires ne peut être que le contraire d’un discours, – qui rendrait le logos comme « ivre » (Métaphysique, gamma, 1009,3-4). Aristote formule cette doctrine en faisant recours à La valeur du mot dépend davantage de la signification que nous lui donnons que de son être : c’est une imposition de sens qui est une limite à la contradiction plutôt que le mot lui-même. tous les autres axiomes. ... d'Aristote la situation est tout autre que celle qui prevaut pour les auteurs modernes. Or, dans la pratique argumentative, la seule contrainte logique est de ne faire dépendre un énoncé que d’un autre préalablement admis. et l’autre suit la puissance (la cause matérielle). Elle consiste à « postuler dès le départ ce qui, au commencement de l’entretien, a été défini comme le but à atteindre. En premier lieu, la substance existe d’une part la théologie aristotélicienne, la philosophie première, science particulière qui a Dieu pour objet et qui doit en conséquence être subordonnée à la science universelle et proprement D'abord, c'est bien cela qu'est le primitif sous le rapport de la définition ; car de toute nécessité, dans la définition d'une chose quelconque, la définition même de la substance est toujours Et par conséquent, l'être premier, qui n'est pas de telle Cependant, parmi les anciens philosophes il y en a eu qui ont prétendu le nier ; contre ceux-ci Aristote utilise la confutation. Discutez des points † am•liorer en page de discussion. Il ne va pas, non plus, chercher à rivaliser avec son adversaire afin d’emporter l’adhésion au terme d’une joute dialectique à l’issue de laquelle le contradicteur serait mis en contradiction avec lui-même. Comment cette forme dialectique, dans le cadre d’un débat contradictoire mais surtout contradictoirement fictif (puisqu’il s’agit de prouver le principe le plus vrai et nécessaire) pourrait-elle parvenir à démontrer le principe le plus ferme de tous ? L'histoire qui suscite le plus l'imagination quand on parle d'Aristote au dix-septi me si cle est celle qui raconte que Cesare Cremonini a refus de regarder dans le t … signification, c'est-à-dire univoquement. La métaphysique est pour Aristote la plus élevée des sciences spéculatives. Un tel homme, en se conduisant ainsi, n'a guère plus de rapport avec nous que n'en a une plante. Il lui suffit de manifester une intention signifiante et non une intention de vérité consistant à réclamer qu’on dise que quelque chose est ou n’est, est ainsi plutôt qu’autrement. De l’homme on peut dire qu’il est La théologie est une Or, il est remarquable que celui qui en prend la défense affirme dans un même geste l’impossibilité de le démontrer et la possibilité d’y parvenir « par voie de réfutation ». Contrairement à l’opinion de Cratyle, les mots ne sont donc pas un produit direct des choses. Une autre distinction fondamentale des modalités de l’être est pour Aristote l’être en acte et l’être en Cela peut concerner n’importe quelle catégorie (être blanc en acte ou en puissance). Explication du texte: Aristote, Métaphysique, Livre gamma, 1006a [10-29]. Ce n'est pas choses sont ou ne sont pas dans la réalité. La Métaphysique constitue un des sommets de la philosophie de lAntiquité et eut une influence fondamentale sur toute la métaphysique et la philosophie postérieures. Sous la contrainte de la contradiction, disant un mot, on pourrait en même temps et sous le même rapport en dire bien d’autres, et alors, les disant tous, l’on ne dirait plus rien. C’est en effet nécessaire si toutefois on dit quelque chose, car, dans le cas contraire, un tel interlocuteur ne produirait d’argument ni pour lui-même ni pour un autre. La stratégie d’Aristote suggère qu’ayant affaire, en guise de contradicteur, à un expert dans le maniement de la contradiction, il lui faut composer avec cette expertise. Or, cette fin, c'est l'acte; et la puissance n'est compréhensible qu'en vue de l'acte. que faux. You can write a book review and share your experiences. pensée de l’Éléate ; mais on ne doit pas perdre de vue qu’entre Parménide et Aristote il y a d’abord les interprétations de Zénon d’Élée et de Mélissos de Samos et surtout celle de Platon, Aristote cependant pense que réduire la réalité à ces façons d’être signifierait perdre de vue un autre aspect, le plus profond sens complètement différents (équivocité). On le voit donc : cette question agitée depuis si longtemps, agitée encore aujourd'hui, cette question toujours posée, et toujours douteuse de la nature de l'Être, revient à savoir ce qu'est la signifie pas qu’Aristote n’admette l’existence de choses vraies ou fausses, mais que la vérité ou la fausseté ne sont pas la façon primaire de l’être, mais le reflet dans la raison de ce que les La démonstration est la forme de déduction caractéristique de la science. " Tous les hommes désirent naturellement savoir;" Fill in your details below or click an icon to log in: Dans la ligne inaugurée par Parménide, Aristote considère que la caractéristique centrale de toutes les choses est qu’elles sont ; Ainsi, l'homme fait est antérieur à l'enfant; l'homme est antérieur au germe d'où il vient; car l'un a la forme, que l'autre n'a pas encore. Celle-ci consiste en effet à poser comme prémisse la thèse qu’il s’agit de démontrer, ou une proposition équivalente de sorte qu’elle puisse lui être assimilée. Aristote, Métaphysique, Livre Gamma, 1006a [10-29] traduction M. -P. Duminil et A. Jaulin, éd. Ce qui est très concevable, c'est qu'une chose, qui peut être, ne soit pas, et qu'une chose, qui peut ne pas être, soit cependant. De même encore, dans toutes les autres catégories; et, par La convocation de négateurs du principe de non contradiction est la toile de fond de ce texte. Mais il ne l'est pas moins sous le rapport de la substance. Collection americana Digitizing sponsor Google Book from the collections of Harvard University Language French. L’être accidentel et l’être en tant que véritable. Une autre acception du mot Cause, c'est le but des choses et leur pourquoi. un mot simplement homonyme ; mais il en est du mot Être comme du mot [35] Sain, qui peut s'appliquer à tout ce qui concerne la santé, tantôt à ce qui la conserve, tantôt à ce qui la produit, Cependant, le nom de métaphysique est très adapté aux caractéristiques que cette science avait pour Aristote. v. 1. Tout d’abord, il s’agira de viser l’accord de l’interlocuteur sans aucun moyen non discursif comme la séduction, l’intimidation ou la violence : la véridiction doit dépendre exclusivement du discours, non de celui qui parle. Sa manifestation la plus évidente est la dynamicité du réel, sa mobilité, qui se présente à C'est, répondons-nous, afin de se bien Celui qui nierait l’existence de la potentialité figerait la réalité Ce procédé socratique, qui consiste à l’amener à se contredire sans jamais être soi-même dans cette configuration d’incohérence, n’est pas le procédé approprié à son contradicteur. Aristote distingue quatre espèces de causes. A nos yeux, Aristote parle d’ « arguments » et non pas de véritables assertions afin de bien distinguer l’objet de la réfutation d’une démonstration qui, supposant le principe à démontrer, tomberait dans la pétition de principe. En plus des catégories et de la distinction entre être en acte et être en puissance, Aristote signale autres deux significations La force de la réfutation déployée dans cet extrait est de faire éclater l’évidence du principe à partir de son négateur. Nous avons vu qu’Aristote définit la métaphysique comme la science de l’être en tant qu’être. Topics: Aristote, Métaphysique, Seconds Analytiques, temps, Aristotele, Metafisica, [ SHS.PHIL ] Humanities and Social Sciences/Philosophy servons d'un autre terme s'il fait alors de la chaleur et de la sécheresse. substance individuelle, les choses concrètes et indépendantes (cet homme, ce cheval, etc.). On peut dire qu’il est comme une loi de l’être, dans ce sens que toute réalité concrète, tout être, est d’une façon déterminée et ne C'est en ce sens que celui qui a conçu une résolution est la cause des suites qu'elle a eues ; que le Pour Aristote, tout ce qui se passe a une cause qui explique son origine, sa finalité et sa façon particulière de se Le responsable de la démonstration par réfutation est donc son contradicteur. L’être en tant que substance et l’être en tant qu’accident : les catégories. « En effet, ne pas signifier une chose, c’est ne rien signifier du tout, et, si les noms ne signifiaient rien, en même temps serait ruiné tout dialogue entre les hommes et même, en vérité, avec soi-même » (Métaphysique, Gamma, 4). Elle comporte malgré tout la contrainte majeure de toute déduction : ses prémisses, qui sont « causes de la conclusion » (Seconds analytiques, I, 2,71b 20-22), doivent être « vraies et premières ou dérivées de propositions vraies et premières » (Topiques, I, 1,100a 27-29). C’est pourquoi l’adresse du texte concerne bien moins Héraclite ou Empédocle que les sophistes Gorgias ou Protagoras. Mais les Dès qu’il est acquis, nous sommes engagés dans une circulation sociale et objective des mots ainsi que dans toutes les surprises ou disputes qui tiennent à leur arbitraire, non seulement aux imperfections qui en découlent, mais aussi aux abus dont les hommes se rendent coupables. L’accidentel est causé mais on ne peut pas établir ses causes ou, tout au plus, on peut las connaître a posteriori : une fois que l’être accidentel de sa doctrine métaphysique : le concept d’être est dans une certaine mesure analogique, il peut avoir plusieurs sens qu’il faut analyser soigneusement. La métaphysique, comme toute autre science, doit être une connaissance des causes. Elle apparait dans les Seconds changeait selon le moment du processus évolutif auquel Aristote avait écrit chacun de ses livres, voire chacune de leurs parties. Ils n'existent que dans la pensée. Soit chercher à étayer la preuve sur une analyse des étants et sur une analyse des jugements qui en rendent la vérité, soit s’inscrire dans le champ du discours, seul terrain susceptible de convenir à un adversaire sophistique afin de l’amener à concéder lui-même la vérité du principe. causes premières de l’être, quelques-unes, les causes motrices, apparaissent comme appartenant à la sphère du suprasensible, c'est-à-dire du divin au sens le plus propre. C’est pourquoi, il faut régler la convention et la rendre explicite en formulant des règles d’usage. Effet, lorsque deux interlocuteurs parlent de la même chose, ils ne peuvent que dire la même chose. Cet article ou cette section doit †tre recycl•. ses parties, elles limitent leurs recherches aux phénomènes qu'on peut observer dans cette partie spéciale. Or, si l’on s’accorde pour dire quelque chose, et l’on s’accorde pour dire, alors « quelque chose sera défini » : la condition de tout discours signifiant est, sinon l’univocité, du moins la régularité d’une imposition de sens, d’un dire (signifiant) plutôt que du dit (des mots). s’applique à toutes les catégories. Par rapport à la substance sensible, la matière est puissance, dans ce sens qu’elle est capacité d’assumer une forme : Ainsi, la santé est le but de la promenade. La difficulté qu’Aristote lui-même rencontre dans sa théorisation de l’acte montre précisément qu’il surplombe la forme, qu’il n’est pas objectivable. Toutefois, au lieu d’une contemplation, il fait l’objet d’un savoir dialogique. Addeddate 2011-06-11 01:11:11 Bookplateleaf 0008 Call number AKM-3884 Camera Canon EOS 5D Mark II De même, réduites toutes les formes de prédication de l’être (par exemple, dire que quelque chose est homme, est blanc, est grand, est fils, est dans un lieu, 11 novembre 201811 novembre 2018 phidalgoComments are off for this post. Que cela soit l’expression la plus directe d’une nécessité d’essence ou une proposition concernant des futurs contingents dès qu’il profère quelque chose il est dans la nécessité d’admettre qu’il a proféré quelque chose et non pas rien. La stratégie à déployer est bien indissociable de la figure du contradicteur : face à un défenseur sophistique de la contradiction, seule une méthode réfutative (procédé mis au point par les sophistes eux-mêmes et auquel notre auteur a consacré tout un traité) est appropriée en ce qu’elle lui laisse le champ libre pour autant qu’il consente à dire quelque chose. Pour d’autres interprètes cependant cette thèse est insoutenable car la métaphysique et la tantôt à ce qui l'indique, et tantôt à l'être qui peut en jouir. Aristote répond en s’efforçant d’apparier sa stratégie argumentative à un interlocuteur qui s’étonnerait du caractère indémontrable d’un principe prétendument si fécond. D’autre part, il ne servirait à rien de recourir à l’évidence noétique face à un adversaire qui pourrait la récuser et objecter que la perception noétique de la véracité du principe se heurte à des jugements tout à fait autorisés comme ceux d’Héraclite (qui professait que la contradiction est la loi du monde) ou d’Empédocle (qui n’admettait pas de sujet commun aux quatre « racines » contraires du feu et de l’eau, de l’air et de la terre). en tant qu’être, qui est la science universelle par définition ; par conséquent, elle ne réduit pas celle-ci comme étant une partie d’elle-même, car il y a d’autres causes différentes des Puisque sa force tient à ce qu’il impose son propre terrain, dès lors qu’un entretien s’engage avec le sophiste, il ne faut surtout pas viser les choses mêmes ou l’acribie du jugement. Quelle est alors cette prémisse qu’un contradicteur sophiste ne peut pas ne pas concéder ? implique déjà faire usage du principe de non-contradiction. principe de non-contradiction ne peut pas être démontré, mais on peut démontrer que tout raisonnement qui prétendait le nier n’aurait aucun sens, sauf à faire intervenir le principe lui-même. L’expression Le mot de premier peut, il est vrai, être pris lui-même en plusieurs sens; mais la substance n'en En effet, cherchant à toujours mieux à ajuster son raisonnement à son interlocuteur fictif, Aristote sépare clairement entre le fait « qu’on signifie au moins quelque chose pour soi-même ou pour un autre » et le fait « qu’on dise que quelque chose est ou n’est pas ». Dans sa Métaphysique il signale les trois significations de l’acte : mouvement (kinesis, acte imparfait) ; opération (praxis) et Explication de texte ARISTOTE, Métaphysique A. matière, le blé et l'être capable de voir sont chronologiquement antérieurs. L’acte – enérgheia – contient pour Aristote l’aspect le plus radical de la réalité, l’aspect non seulement dynamique intégrante de la chose individuelle. Accepter le terrain de l’adversaire, c’est ainsi tirer avantage d’une pratique argumentative immanente au discours. En effet, parmi tous les signes possibles qui, selon la tradition, se définissent comme « une chose mise pour une autre chose, aliquid stat pro aliquo », les symboles langagiers sont proprement arbitraires, non motivés, ils signifient un état d’âme par une loi générale d’association. Pour Aristote cette solution n’est valable que sur le plan logique : elle suppose prendre les concepts universaux qui expriment l’essence des choses comme s’ils étaient des réalités en Trois d’entre elles suivent l’acte (la cause formelle, efficiente, finale) D’autres interprètes ont considéré que la Métaphysique contiendrait non pas une seule science mais deux au moins : En effet, l’interlocuteur n’est pas censé accorder autre chose que la visée de signifier quelque chose à quelqu’un, il ne lui est demandé rien d’autre que de communiquer un sens. Ajoutez que, quel que soit l'être dont il s'agit, nous ne croyons le connaître que quand nous savons, par exemple, que c'est un homme, ou que c'est du feu. Le centre de la métaphysique aristotélicienne, on l’a dit, n’est pas la substance, mais la Elle se montre ainsi d’une efficacité redoutable. Pour nous, il est évident que l'examen des axiomes appartient à une seule et même science, qui est celle du philosophe. Dans l’histoire de la philosophie, Aristote est reconnu comme celui qui a le premier énoncé le principe de non-contradiction. Ainsi, un homme vient d'un homme, le musicien vient du musicien, quelque agent primitif étant toujours la réalité la plus profonde. Reste à poursuivre la réfutation et à en évaluer la teneur de vérité. Trois études sur la tradition des commentaires anciens à la métaphysique d'Aristote / by: Luna, Concetta. Analytiques, lorsqu’il définit la science comme une conaissance par les causes ; mais là où il développe le plus ce sujet est dans le deuxième livre de la Physique et dans la This volume discusses the relationship between the four extant ancient commentaries on Aristotle's Metaphysics of Alexander of Aphrodisias, Syrianus, Asclepius and Ps.
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